TERRITOIRES
Un accélérateur franco-italien dédié aux PME
Janvier 2021Le premier accélérateur franco-italien vient d’être créé. Son objectif: aider les PME françaises et italiennes à opérer ensemble pour se développer à l'international.
Le premier accélérateur franco-italien vient d’être créé. Son objectif: aider les PME françaises et italiennes à opérer ensemble pour se développer à l'international.
Les zones de montagne représentent plus de 40 % des frontières françaises. Parmi les massifs français, trois se trouvent en position frontalière : le Jura, les Pyrénées et les Alpes. Cette nouvelle plaquette met en avant leurs problématiques et enjeux transfrontaliers communs, tout en mettant en exergue des projets transfrontaliers concrets.
Le webinaire de clôture du projet de capitalisation Europ’Act, intitulé "Quelles perspectives pour les coopérations transfrontalières franco- italiennes en région Provence-Alpes-Côte d’Azur?" a réuni, le 17 septembre, plus de 150 personnes. Organisé par la Région Sud et animé par la MOT, il visait à dresser un bilan de six années de coopérations et d’esquisser la programmation Interreg 2021-2027.
Suite à l’adoption de quatre premiers Schémas de Coopération Transfrontalière (SCT) par les métropoles de Nice, Strasbourg et Lille, ainsi que par la Communauté d’agglomération du Pays Basque, la MOT s’est engagée avec ces partenaires dans la rédaction d’un premier bilan de ces démarches qui aboutit aujourd’hui à une publication, co-écrite avec chacune de ces intercommunalités.
Dans le cadre de la crise sanitaire, l'ensemble des Etats frontaliers cherchent à favoriser le recours au télétravail. Une bonne nouvelle pour les frontaliers : l'incertitude juridique liée à la sécurité sociale applicable aux travailleurs frontaliers est écartée jusqu'au 31 décembre 2020.
La MOT a contribué à la publication de ce rapport aux côtés du Professeur Philippe Weckel et de M. Robert Botteghi, dans le cadre du programme DITER (diplomatie territoriale), de l’Université Côte d’Azur.
Depuis un an, la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur a confié à la MOT une mission de capitalisation ayant permis de donner la parole aux acteurs régionaux impliqués dans des projets ALCOTRA et MARITTIMO via un large processus de consultation. La synthèse de ces travaux est désormais consultable en ligne.
La MOT publie une analyse des conséquences aux frontières françaises de la crise sanitaire, fruit d’un appel à témoignages lancé auprès de tous ses adhérents. Structurée en trois grandes parties, elle a pour objet de rendre compte des impacts, des difficultés et des initiatives liés à la gestion de crise sanitaire du Covid-19 dans les territoires transfrontaliers.
Fort de 29 ans de coopération transfrontalière, l’Espace Mont-Blanc à la frontière franco-italo-suisse, s’attache à adapter son territoire en trouvant des réponses communes aux impacts du changement climatique.
Depuis le 11 mai, date du début du déconfinement en France, la MOT publie, sur son site et sur les réseaux sociaux, plusieurs cartes de la situation pour les territoires transfrontaliers.
La Métropole Nice Côte d’Azur est un territoire transfrontalier unique, entre mer et montagne, contigu à deux frontières : une frontière interne à l’UE de plus de 100 km avec la région piémontaise en Italie et une frontière internationale avec la Principauté de Monaco. Son Schéma de coopération transfrontalière 2020-2030, adopté le 16 décembre 2019 s’articule en quatre échelles de travail complémentaires.
Premier pays à avoir été sévèrement frappé par cette crise sanitaire, l’Italie a récemment appelé à "une coordination européenne" dans les domaines de la santé et de l'économie pour faire face au coronavirus.
La présidence française de la stratégie de l'UE pour la région alpine, lancée le 4 février à Lyon, entend passer à une vitesse supérieure en matière de transition écologique au sein de cet espace transnational parmi les plus vulnérables et les plus menacés par le changement climatique.
La loi MAPTAM permet aux métropoles frontalières de se doter d’un Schéma de Coopération Transfrontalière (SCT). Lille, Strasbourg et Nice ont saisi cette opportunité et travaillent depuis 2018, avec le soutien de la MOT, à construire une stratégie pour structurer leur politique transfrontalière. D’autres territoires ont suivi ce mouvement comme la Communauté d’agglomération Pays Basque.
Afin de dresser un premier bilan des programmations Interreg écoulées et de se projeter vers l’avenir, la Région Sud a organisé en partenariat avec les départements des Alpes-de-Haute-Provence, des Alpes-Maritimes, des Hautes-Alpes et du Var, un cycle de trois rencontres auprès des porteurs de projets ALCOTRA et MARITTIMO.
Dans le cadre de la préparation des programmes 2021-2027, la DG REGIO a élaboré 38 documents d'orientation (Border Orientation Papers - BOP) pour l’ensemble des frontières terrestres de l’UE. Six de ces BOP correspondent aux frontières françaises.
En 2015, plus de 360 000 habitants des zones frontalières françaises travaillent dans un pays limitrophe, à proximité de la frontière. Le dynamisme économique des pays voisins tels que le Luxembourg, la Suisse et Monaco, ainsi que les salaires offerts, incitent les actifs résidant en France près des frontières à aller y travailler.
Avec le soutien de la MOT, Lille, Strasbourg et Nice sont les trois métropoles frontalières françaises engagées dans la réalisation d'un "Schéma de Coopération Transfrontalière" (SCT), instauré par la loi Maptam* en 2014. Grâce à son réseau, la MOT permet aux trois métropoles d’échanger entre elles sur leurs méthodologies, les obstacles rencontrés, les contextes politiques locaux, ainsi que de relayer leurs besoins auprès des autorités nationales et européennes.
Le territoire transfrontalier des Hautes Vallées se situe au cœur des Alpes, entre la Savoie, le Piémont et les Hautes Alpes. Il représente 13 intercommunalités, 147 communes rurales de montagne, et 270 753 habitants répartis sur 6350 km2. Une stratégie transfrontalière "Les Hautes Vallées - Destination intelligente" a été élaborée pour regrouper les priorités de développement communes pour les prochaines années.
Dans le cadre du programme Interreg ALCOTRA à la frontière franco-italienne, deux types de plans peuvent être mis en œuvre : les plans intégrés territoriaux (PITER) et les plans intégrés thématiques (PITEM). Les plans intégrés territoriaux sont constitués d’un ensemble de projets organisés autour de plusieurs thématiques pour un territoire transfrontalier spécifique.
La MOT et l'Institut Jacques Delors ont compilé dans un document de 50 pages la synthèse des cinq consultations citoyennes transfrontalières qu'ils ont organisées avec leurs partenaires locaux.
Pourquoi l’Europe est-elle désorganisée ? Quels projets l’UE finance-t-elle pour la coopération transfrontalière ? Pourquoi est-il important de voter aux élections européennes ?
Lors de son Assemblée générale en mai 2018, la MOT a organisé deux tables-rondes sur les thèmes "La coopération transfrontalière locale dans le bassin de vie franco-italien" et "La métropole franco-italo-monégasque en construction", qui ont été complétées par une présentation des projets transfrontaliers de la Métropole Nice Côte d'Azur.
L'Observatoire des territoires du CGET vient de publier son rapport 2017. Un important chapitre traite des dynamiques de l'emploi transfrontalier. Les problématiques frontalières sont également abordées dans d'autres rubriques du rapport.
Deux tables rondes consacrées à la coopération franco-italo-monégasque ont été organisées à Vintimille le 23 mai suite à l'assemblée générale de la MOT. Elles ont réuni de nombreux élus locaux, comme Enrico Ioculano, maire de Vintimille, Jean-Pierre Vassallo, maire de Tende, vice-président de la CARF, Fabio Natta, maire de Cesio, président de la Province d'Imperia, Frederico Borgna, maire de Cuneo, président de la Province de Cuneo ou encore Marine De Carne-Trecesson, Ambassadrice de France à Monaco.