Espace Mont-Blanc

Gouvernance

La Conférence transfrontalière Mont-Blanc constitue une structure politique informelle. Elle est composée de quinze membres, cinq par pays dont au moins trois représentants locaux ou régionaux. Elle se réunit trois à quatre fois par an selon une rotation  établie entre les trois entités que sont :

  • La République et Canton du Valais (Suisse) : parmi les vingt-trois cantons de la Confédération, le Valais est un lieu touristique partagé par deux langues officielles, le français et l'allemand. Le territoire suisse de l'Espace Mont-Blanc comprend 17 communes valaisannes situées dans les régions de Martigny, de l'Entremont, de la Vallée du Trient et de la Vallée d'Illiez.
  • La Communauté de Communes de la vallée Chamonix Mont-Blanc (France) : elle comprend les quatre communes de Chamonix Mont-Blanc, Les Houches, Servoz, Vallorcine et assure le secrétariat technique et administratif transfrontalier de l'EMB depuis 2010.
  • La Région autonome Vallée d'Aoste (Italie) : c'est la plus petite des vingt régions italiennes et l'une des cinq à jouir d'un statut spécial. Elle bénéficie d'une autonomie particulière, octroyée en 1948, qui lui donne notamment le pouvoir de légiférer dans différents domaines.

Sont également membre de la Conférence transfrontalière Mont-Blanc :

  • La Communauté de Communes Pays du Mont-Blanc (France) : composée de dix communes, celles de Combloux, Cordon, Les Contamines-Montjoi, Demi-Quartier, Domancy, Megève, Passy, Praz-sur-Arly, Saint-Gervais, Sallanches.
  • Les communes de Bourg Saint Maurice, Beaufort et Hauteluce pour la Savoie (France).
  • L’Unité de communes valdôtaines Valdigne Mont-Blanc (Italie).
  • L'Unité de communes valdôtaines Grand Combin (Italie).

Organisation de la Conférence transfrontalière Mont-Blanc :