Atlas de la coopération transfrontalière - page 8

ATLAS DE LA COOPÉRATION TRANSFRONTALIÈRE
L’organisation du présent ouvrage se présente en plusieurs chapitres et sous-chapitres.
Une des nouveautés de la présente réédition repose dans l’ajout de petites introductions
sur des sous-intercalaires pour chaque sous-chapitre de l’ouvrage. Conformément à sa ver-
sion initiale, on a choisi une présentation par fiche à l’intérieur d’un atlas classeur, per-
mettant de compléter chacune des parties par des nouvelles cartes qui viendront enrichir
l’existant et s’inscrire avec cohérence dans le document-ressource ambitionné à terme.
Cette formule permet également, le cas échéant, de remplacer ou de mettre en compa-
raison une ancienne carte « périmée » avec une nouvelle quand l’évolution de la situation
rend l’approche antérieure caduque.
A chaque carte correspond son commentaire au verso de la page permettant d’éviter
toute désolidarisation de l’une avec l’autre.
Cette présentation en fiches « volantes » (même si elles bénéficient d’un emplacement
précis dans l’ouvrage) a également l’avantage de permettre la mise en regard de n’impor-
te quelle carte avec une autre, ainsi que tous les rapprochements et toutes les comparai-
sons possibles, les correspondances entre les différents thèmes pouvant se faire égale-
ment à l’insu de leur auteur. L’utilisation d’échelles identiques vient également faciliter la
confrontation entre les planches.
Certaines pages font figurer plusieurs cartes-vignettes quand celles-ci constituent la
déclinaison d’un même thème en fonction de plusieurs paramètres.
Certains thèmes font parfois l’objet d’un « zoom » régional , permettant de réaliser la
synthèse de la coopération transfrontalière d’un domaine d’activité sur l’ensemble d’une
frontière.
Choix de présentation
demeure en grande partie vierge, les quelques données européennes existantes en la
matière (Eurostat) correspondant à des zones géographiques beaucoup trop larges par
rapport aux territoires transfrontaliers qui nous concernent ici.
Une fois franchi le redoutable obstacle de l’existence ou de la disponibilité des données
transfrontalières proprement dites, reste la tâche complexe de mise bout à bout des sta-
tistiques françaises avec celles des pays voisins. Les dates de ces données sont presque
toujours différentes d’un pays à l’autre. Ce problème de mise en équivalence est multiplié
par le nombre de pays frontaliers. Cette phase d’interprétation et de conversion est essen-
tielle (mais pas toujours possible) pour rendre lisible et intelligible le fait statistique dans
sa dimension transfrontalière.
Pour une même carte, les données statistiques, d’une très grande hétérogénéité, pro-
viennent la plupart du temps d’un nombre considérable de lieux ressources : offices sta-
tistiques quand ils les possèdent, collectivités, ministères, annuaires, parfois études et
dans des cas plus limités encore atlas locaux transfrontaliers (rares en effet ont été ceux
qui possédaient déjà les indicateurs qui nous intéressaient).
La plupart du temps réservés à l’obtention de données qualitatives, les entretiens télé-
phoniques, ou questionnaires écrits, ont été parfois nécessaires afin d’obtenir les données
chiffrées utiles et la validation de certaines interprétations.
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